John Elkann tire la sonnette d’alarme quant aux risques courus par son industrie / Malgré un espoir de répit aux Etats-Unis, l'environnement politique et réglementaire des deux côtés de l'Atlantique n'augure rien de bon

Pendant que le président exécutif de Stellantis ouvrait son assemblée générale des actionnaires à Amsterdam, le titre du constructeur automobile s'affichait en tête du CAC 40 à la Bourse de Paris. En cause, une lueur d’espoir annoncée par Donald Trump lundi, quant à un éventuel sursis de droits de douane. Bien qu’encouragé par les propos du président américain, John Elkann a néanmoins détaillé tous les aléas auxquels faisait face l’entreprise qu’il préside, sur ses deux premiers marchés. Ceci pendant que la concurrence chinoise suit une trajectoire bien différente.